Arcos de la Frontera

Du blanc et du bleu

Arcos de la Frontera

Visiter Arcos de la Frontera nous a fait du bien à tous les niveaux. D’abord sur le plan sportif, car ces rues sont tellement étroites qu’on a laissé notre voiture en bas, près de la porte Matrera, et que nous avons vite compris le sens du mot raide, comme dans “pente raide”, car atteindre le sommet de la ville demande un bel effort. Puis sur le plan esthétique, nous sommes allés de surprises en ébahissements, de petits bonheurs en grands bonheurs, tant Arcos est une belle ville.

Et le fait de s’y perdre ajoute au plaisir de la visite, parce qu’en vrai, à la fin on n’a pas envie de repartir. Et comme c'est à une cinquantaines de minutes en voiture de Cádiz... On y revient.

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Une rue d'Arcos de la Frontera
Une rue bien raide
Une rue d'Arcos de la Frontera
Une autre rue bien raide
Une rue d'Arcos de la Frontera
Une rue d'Arcos de la Frontera
Arcos en hiver
Même en hiver, par temps gris, Arcos est magnifique
Une ferme
Une ferme entre le réservoir d'Arcos et le Guadalete
Église de Santa Maria de la Asuncion

Église de Santa Maria de la Asuncion

C'est le point culminant d'Arcos de la Frontera. L'église se dresse sur une place, entre le Chateau d'Arcos, qui fut uneune forteresse militaire à l'époque musulmane et le magnifique Parador.

Église de Santa Maria de la Asuncion

Bâtiment d’origine mudéjar datant des XIVe ou XVe siècles qui, après quelques remaniements en profondeur, réalisés au cours de la première moitié du XVIe siècle, fut converti en une magnifique église gothique; aspect qui domine architecturalement à l'intérieur, mais pas à l'extérieur, où, l’on trouve des éléments d'art ogival, renaissance et baroque.

Église de Santa Maria de la Asuncion
Église de Santa Maria de la Asuncion
la porte Matrera
La porte Matrera